Festa de São João
João Jean John
Ricardo João Rosa
Mon amant de Saint Jean
Je ne sais pourquoi elle allait danser à Saint Jean au musette mais quand ce gars lui a pris un baiser elle frissonnait, était chipée Comment ne pas perdre la tête serré par des bras audacieux car l'on croit toujours aux doux mots d'amour quand ils sont dits avec les yeux Elle qui l'aimait tant elle le trouvait le plus beau de Saint Jean elle restait grisée sans volonté sous ses baisers Sans plus réfléchir, elle lui donnait le meilleur de son être beau parleur chaque fois qu'il mentait elle le savait, mais elle l'aimait Comment ne pas perdre la tête serré par des bras audacieux car l'on croit toujours aux doux mots d'amour quand ils sont dits avec les yeux Elle qui l'aimait tant elle le trouvait le plus beau de Saint Jean elle restait grisée sans volonté sous ses baisers Mais hélas, à Saint Jean comme ailleurs un serment n'est qu'un leurre elle était folle de croire au bonheur et de vouloir garder son cœur Comment ne pas perdre la tête serré par des bras audacieux car l'on croit toujours aux doux mots d'amour quand ils sont dits avec les yeux Elle qui l'aimait tant, elle le trouvait le plus beau de Saint Jean, elle restait grisée sans volonté sous ses baisers Elle qui l'aimait tant... Il ne l'aime plus c'est du passé n'en parlons plus
Petit Portoricain Bien intégré, quasiment New-Yorkais Dans mon building tout de verre et d’acier Je prends mon job, un rail de coke, un café Petite fille Afghane De l’autre côté de la terre Jamais entendu parler de Manhattan Mon quotidien c’est la misère et la guerre Deux étrangers au bout du monde, si différents Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant Pulvérisés sur l’autel De la violence éternelle Un 747 S’est explosé dans mes fenêtres Mon ciel si bleu est devenu orage Lorsque les bombes ont rasé mon village Deux étrangers au bout du monde, si différents Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant Pulvérisés sur l’autel De la violence éternelle So long ! Adieu mon rêve américain Moi plus jamais esclave des chiens Ils t’imposaient l’Islam des tyrans Ceux-là ont-ils jamais lu le Coran ? Suis redev’nu poussière Je s’rai pas maître de l’univers Ce pays que j’aimais tell’ment serait-il Finalement colosse aux pieds d’argile ? Les dieux, les religions Les guerres de civilisation Les armes, les drapeaux, les patries, les nations F’ront toujours de nous de la chair à canon Deux étrangers au bout du monde, si différents Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant Pulvérisés sur l’autel De la violence éternelle Deux étrangers au bout du monde, si différents Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant Pulvérisés sur l’autel De la violence éternelle…
Rua João Crisóstomo Lisboa
CÁ Carlos Bé Carmo .....
Rua João Crisóstomo Lisboa
Lola
Tapetes de Arraiolos, Cave
Diolinda stories... Helena...
Marechal Gomes Da Costa Helena Da Costa
Rosa
Henrique Mãe Madre Mére Mother
Henrique Manuel Da Rosa
Aurora Rosa
Monte Abraão Abraham Mount
Terra
Rua 7 5 Galp
Jardins Gardens Gards Guards Gestapo
Aurora Diolinda
Rosa Diolinda Henrique Aurora
Henrique Diolinda Aurora Henrique
Café des delices
Tes souvenirs se voilent Ça fait comme une éclipse Une nuit plein d'étoiles Sur le port de Tunis Le vent de l'éventail De ton grand-père assis Au Café des Délices Tes souvenirs se voilent Tu vois passer le tram Et la blancheur des voiles Des femmes tenant un fils Et l'odeur du jasmin Qu'il tenait dans ses mains Au Café des Délices Yalil yalil abibi yalil yalil yalil abibi yalil Tes souvenirs se voilent Tu la revois la fille Le baiser qui fait mal A port El Kantaoui Les premiers mots d'amour Sur des chansons velours Abibi Abibi Tes souvenirs se voilent Tu les aimais ces fruits Les noyaux d'abricot Pour toi, c'étaient des billes Et les soirées de fête Qu'on faisait dans nos têtes Aux plages d'Hammamet Yalil yalil abibi yalil yalil yalil abibi yalil Tes souvenirs se voilent À l'avant du bateau Et ce quai qui s'éloigne Vers un monde nouveau Une vie qui s'arrête Pour un jour qui commence C'est peut-être une chance Yalil yalil tu n'oublieras pas Yalil yalil ces parfums d'autrefois Yalil yalil tu n'oublieras pas Yalil yalil même si tu t'en vas Yalil yalil abibi yalil yalil yalil abibi yalil Une nuit plein d'étoiles Sur le port de Tunis Et la blancheur des voiles Des femmes tenant un fils Le vent de l'éventail De ton grand-père assis Et l'odeur du jasmin Qu'il tenait dans ses mains Au Café des Délices
Voyages Voyages
Walt Disney
Aurora Elisiário
Herbie 53
Hitler´s Car
Volkswagen.de
Ricardo ... Sandra Onofe ... NGR16
London
Ella Elle L A
22 ACCACIA AVENUE
Simon Henry Peter
Pedro...
Francisco Henrique Rui Q FB
HR Disneyland Tokyo Japan
Tower Bridge London Hospital Dona Estefania Oficinas
~
Henrique Rui ABOLA.PT
Aurora Rui
HELENA JOÃO flles daughters
AURORA GRAÇA
HELENA FERNANDO
RUI
Helen Christensen
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire